Représente les mauvaises influences sataniques dont l'homme est souvent victime, celles-ci se manifestant non pas sous forme de démence mais bien sous l'apparence de vérités divines déformées et trompeuses.
Aire du troisième plus petit triangle à côtés entiers en progression arithmétique et à aire entière; les côtés mesurent 15, 28 et 41. Les deux premiers triangles de ce type sont 3, 4, 5 et 13, 14, 15; le suivant est 15, 26, 37, de surface 156.
Avec la cabale française, en utilisant comme table de correspondance A=1, B=2, ..., Z=26, André Bouguénec trouva que UNE MONARCHIE = 126 = LE CHIFFRE DE LA BETE (c'est-à-dire 666 selon l'apocalypse de Saint Jean, Ap 13,18). De même que: SCIENCE + AMOUR = 126 et 666 avec la guématrie A=1, B=2, ..., J=10, K=20, L=30, ..., S=100, T=200, ..., Z=800 démontrant bien que lorsque "l'amour de la science" prime sur "l'amour de Dieu", l'homme perd de sa divinité et de sa dignité.
André Bouguénec, toujours en utilisant comme table de correspondance A=1, B=2, ..., Z=26, trouva la relation YHVH = 63 = DIEUX = DIVINE. Or Satan a toujours voulu "singer" la vérité, se faisant le double de Dieu, symboliquement représenté par 2 x 63 = 126.
En utilisant comme table de correspondance A=1, B=2, ..., Z=26, on trouve que PECHE ORIGINEL = 126.
En utilisant comme table de correspondance A=26, B=25, ..., Z=1, soit «l'inverse» de l'autre, on découvre que COMMUNION = 126 = TESTAMENT, faisant référence entre autre à la "communion des saints" ou à la "communion au corps du Christ", et aux deux "Testaments" de la Bible.
En utilisant la table ASCII on découvre que le nombre 126 donne comme valeur numérique 153. Le nombre 153 symbolise entre autres l'arme du Rosaire, par laquelle Satan sera réduit à l'impuissance.
La valeur numérique du mot hébreu APILE, signifiant obscurité, donne 126.
Le nombre 126 n'est jamais utilisé dans la Bible. Mais la somme des occurrences du nombre 12 dans l'Ancien Testament, écrit sous la forme cardinale et ordinale, donne 126.
Le mot "amen" (ainsi soit-il) revient 126 fois dans le NT grec.
Dernière modification: 13 août 2003